Queenie, ce que tu décris à propos des romans d'Amélie Nothomb, c'est les principales caractéristiques des romans de gare. Consommer c'est agréable mais c'est aussi vite oublié.

Voilà! C'est ça... la plupart des best sellers intéressants que j'ai lu étaient comme ça (oui parce qu'il y en a dont la lecture elle-même est un calvaire).
Roman de gare. J'ai trouvé un nom pour les romans d'Amélie Nothomb maintenant. ça sonne bien, ça me plaît.
C'est chouette

Je suis ravi de ton subit entrain pour Amélie Nothomb...
Tu devrais essayer de lire ses livres ailleurs que dans ta chambre, tu fais peut-être partie de ceux dont les locaux motivent l'endormissement.
Contrôleur tardive, ne fait poinçonner ton réveil, même si c'est duraille.
Et si tu as besoin d'un aiguillage pour mieux comprendre, tu peux me demander, ce sera avec plaisir que je t'informerai lors d'une prochaine correspondance entre nous.
Allez, nous divaguons un peu et de toute façon, je dois te laisser, c'est l'heure du thé, j'y vais !

(Les jeux de mots de gare, ça existe aussi, et ça n'est pas péjoratif !)

Rainer Maria Rilke : "Poêmes a la nuit".
Un des plus grands poêtes du 20 eme siecle, divinement inspiré.
"Le souvenir de Rilke est maintenant devenu pareil a cette brise qui rouvre comme une rose de Jericho le coeur desséché des solitaires" Marguerite Yourcenar

J'ai terminé la lecture des traductions françaises d'Arto Paasilinna par la "forêt des renards pendus". Tous ceux qui ont lu la rubrique découverte y'a pas longtemps se doutent bien qu'il s'agit d'un auteur portugais renommé.

Pour faire un résumé de sa littérature traduite, somme toute homogène qualitativement et thématiquement, je dirait que c'est du roman d'aventures sans plus de prétention que de nous offrir une galerie de personnages cocasses et un goût de la finnitude profonde au travers de fait politiques ou historiques. Une bonne partie de l'intérêt de Paasilinna est sa capacité à nous faire mariner dans des situations abracadabrantes, dont le dénoument est attendu impatiemment.

Ce n'est sans doute pas un grand auteur contemporain, mais sa littérature rafraichissante plaira à tout ceux qui se sentent attirés par ces terres-là bordés par la baltique...

MetallicA: "Que Justice Soit Faite!" reçu aujourd' hui, biographie de 560 pages sur metallica, un peu déçu, bon j'en suis à un peu plus de la moitié, au début on aprend pas grand chose sur le groupe lui même si ce n'est les choses que tout le monde connait ou quelques anecdotes racontées par des grands noms du metooool, et c'est bien fournis en info sur la nouvelle scène Thrash américaine qui émergé au début des 80ies, c'est très neutre comme truc, ça rapporte uniquement les fait, j'ai lu un peu la fin et là ça l'est moin aaaah napster, st anger!!!! ça ce lit bien et ça commence à devenir vraiment interressent à la tragique mort de Cliff , je verrais bien comment ça va suivre!!!

Je viens de terminer Barry Trotter et la parodie éhontée. Je vous laisse deviner quel livre est parodié. C'est plus trash et au moins aussi con qu'un Lord of the Ringards, et donc tout aussi drôle.

Il y a aussi tout un tas de petites références sympas (la sonnerie du portable d'Ermine qui s'appelle War Pigs, un chapitre intitulé "Anti-saucisse tu perds ton sang froid", ou encore le sort anorexianervosa).

Et donc, j'ai découvert Kundera.
Il est tchèque Kundera, ça doit être pour ça que je l'aime, surtout. Cette attirance mêlée de crainte pour ce qui vient de l'est de l'Europe.
On m'avait dit de lire L'insoutenable légèreté de l'être.
Mais je l'ai cherché, cherché, et pas trouvé (pas encore, j'ose espérer). Alors j'ai lu La lenteur, et j'ai lu La plaisanterie, et je lis La vie est ailleurs.
Les deux premiers ne se ressemblent en rien. Le premier se déroule en France, le second en Tchécoslovaquie. Le premier se déroule dans les années 90, le second dans les années 50. Le premier fait quelques dizaines de pages, le second plus de 400. Le premier a été écrit en français, le second, en tchèque. Ils n'ont pas grand chose à voir, à part un air de tragédie, de douce tragédie, qui plane, tout le temps.
Voilà, donc, j'aime bien Kundera. C'est pas révolutionnaire, mais c'est beau. Le style, le style est un peu normal, enfin, comment vous dire, il n'a rien de très particulier (c'est peut-être parce que je ne lis pas le tchèque, mais même en français, c'est un peu pareil...). Ce sont ses histoires qui sont belles, et ses remarques, ses pensées, enfin, vous voyez, le fond. Le style est épuré, et c'est sans doute mieux comme ça.

Merci, Canard.

Voilà, je viens juste de le commencer, c'est le 1er bouquin de Gaiman que je lis.

A chaque fois que je poste un commentaire sur un livre bien (parce que je ne parle que des livres biens, et aussi des livres d'Amélie Nothomb, des fois), donc comme je disais, à chaque fois que je parle d'un livre bien sur ce topic, quelqu'un poste un sujet immédiatement après pour parler d'un livre que je n'ai pas lu et que je n'ai pas envie de lire. C'est frustrant, parce que j'ai toujours l'espoir que ce sera une réponse de quelqu'un ayant lu mon message et me conseillant un livre dans le genre, qui va me plaire.
M'enfin, c'est pas grave.

Si ça se trouve j'vais adorer American Gods...

Le seul que je n'ai pas encore lu !!

Je te conseille dans l'ordre Neverwhere, Stardust puis Ombres et miroirs.

Coraline est un peu à part ( et un peu court).

Sa collaboration avec Pratchett sur De bon présage est vraiment sympa... il arrive a ne pas se faire phagocyter.

Sinon, juste pour le délire... c'est aussi lui qui a scénarisé "Princesse Mononoke"...

ohlala l'insoutenable légéreté de l'être est fantastique ! C'est le seul Kundera que j'ai lu mais je peux deja dire que ce type est intelligent, clair et agréable. Enfin ses livres le sont
L'ILDL ça parle surtout d'amour et de sexe, un peu de politique aussi, bloc de l'est oblige. Vraiment un livre pas con et qui n'embrouille pas le lecteur dans des pseudo considérations philosophiques, juste des points de vus éclairés.

Sinon en ce moment je lis Fêtes sanglantes et mauvais gout, receuil d'articles de Lester Bangs le célébre critique rock des seventies. Une bonne grosse dose de cynisme qui vient balayer la vision idyllique qu'on se voit rabacher à longueur de review sur le paysage musicale de l'époque. Ce monsieur aime Captain Beefheart il a donc tres bon gout . Et comme écrivain c'est le panard, il déborde d'immagination et ses comparaisons sont parfois à mourir de rire. Un livre rock and roll baby.

Allez, on va faire ça vite : Queenie, veux-tu prendre forlong (référence à son physique ?) pour époux ?

Ah Frankie, salaud!
Quel tombeur ce mec!

Ah, alors, c'est comme les autres!
Tant mieux, il faut que je le trouve et que je le lise très vite...


@ Khayman : Frankie? c'est qui?

@ Max : j'ai pas compris le "référence au physique"...

for(t)-long (biiiiiip)

c'est fort-longue

Et sinon désolé d'avoir cassé ton commentaire avec un post frustrant sans rapport aucun avec le précédent

^Wedge^> merci des conseils..

Frankie, faut avoir vu La Classe Américaine, film cultissime s'il en est, pour comprendre.
Et pour ce qui est de la taille de sa.. je vous rassure, rien à voir.

Je dois lire "Stupeurs et tremblements" pour après les vacances, mais je l'ia pas
Là si tout ce passe bien, je vais voler la Divine Comédie de Dante à quelqu'un Trois tomes, j'ai un peu la flemme

Pourquoi tu dois le lire???
Mon pauvre petit...