LOUDBLAST (France - Death Metal) revient avec un album sans concession, sombre et mélodique, de toute évidence le plus intense!. Après 4 semaines d'enregistrement au studio E Factory, le nouvel album vient tout juste d'être mixé par le producteur Peter Tägtgren, dans son studio The Abyss, en Suède. Le disque s'intitule "Frozen Moments Between Life And Death", il paraitra le 18 avril sur le label XIII Bis Records, distribué par Warner et sortira également en Allemagne, Autriche, Benelux, Suisse, Espagne, Royaume-Uni, et Irlande.
Voici le tracklisting de l'album : 1 Frozen moments between life and death - 2 Neverending 'blast - 3 Emptiness crushes my soul - 4 Cold blooded kind - 5 Towards oneness - 6 Nosce te ipsum - 7 The bitter seed - 8 Hazardous magic - 9 To bury an empire

Ça veut dire quoi être un opportuniste quand on est guitariste de death et producteur dans un micro studio en France ?

J'ai pas besoin d'écouter Loudblast merci mais je vois pas ce que le groupe a eu d'opportuniste.
Je ne connais pas Clearcut, j'ai pas trouvé d'extraits.
Et je ne vois pas ce que cette vidéo est censée démontrer. Il produit un album de variété / rock ? C'est être opportuniste ? Le mec est sur Mymajorcompany, autant dire qu'il va en vendre deux... Je sais qu'il a produit des groupes de punk aussi. C'est ça qui est opportuniste ? Bref, je comprends pas. Si tu pouvais préciser.

il était devenu indispensable que l’on change de line-up puisque ni François ni Alex (Colin-Tocquaine, l’ancien guitariste, et non Alex Lenormand, le nouveau bassiste, ndlr) ne pouvaient continuer avec nous.

C’est la question que j’allais vous poser, justement : pourquoi ne sont-ils plus là ?
Hervé : Pour Alex, on a appris dans une interview qu’il ne faisait plus partie de Loudblast. Et il ne nous en avait jamais parlé, on l’a su en lisant le papier.

Avez-vous vérifié que ses propos n’avaient pas été déformés ?
Hervé : Oui. Mais, de toute façon, l’ambiance entre nous n’était plus aussi joviale qu’avant. Quant à François, je pense qu’il aurait souhaité rester, mais c’est nous qui n’avons pas voulu. Pour des raisons très privées, il avait des problèmes de fiabilité qui faisaient qu’il n’était plus possible de le garder. Au bout d’un moment, il faut savoir prendre des décisions. Et, en l’occurrence, c’était soit on le faisait sans lui, soit on ne faisait plus rien. Dans la mesure où l’on n’avait pas du tout envie d’arrêter, on a dû s’en séparer.