J'ai eu du mal avec House of the holy je dois dire, il m'a fallu pas mal d'écoutes pour m’y faire, je crois que c’était un peu la faute de D’yer Mak’er, mais à présent je l'aime bien, y a de sacrés tueries dessus, D’yer Mak’er justement, Song, No quarter.
Mais je le laisse après la tétralogie initiale quand même et après Physical Grafitti, enfin jusque là c'est dur de départager les albums tant on est proches du sans faute.
Après j'ai du mal avec les deux derniers, In through the out door est mauvais, j'arrive jamais a l'écouter d'une traite, et Presence est juste bon, il manque la petite flamme dessus je trouve.
Et je n’'ai jamais écouté Coda tiens.
Et le DVD est monstrueux en effet, c’est un truc énorme à regarder.

Sur CODA il y a quelques curiosités ("Bonzo's Montreux" le live de "Moby Dick", ou "We're Gonna Groove" tiré des sessions du I) mais sinon rien de bien palpitant. On sent un son plus sale, presque grunge sur certains titres... Ça aurait pu être une des directions prises par Led Zep.

Physical Grafitti est excellent, mais bizarrement il ne m'a pas donné envie de le réécouter par la suite. Tout comme les autres albums de Led Zep, je trouve ça bon mais pas addictif.

Les 3 premiers ont beaucoup compté pour moi à l'âge où tout se met en place (17-20). J'écoutais In Through the out door avec l'idée que c'était une période où ils n'étaient plus aussi bons (j'avais dû le lire dans la presse), je lui trouvais des qualités quand même.
Plus tard quand j'ai chopé le IV, je m'attendais à encore mieux que les précédents et j'ai été déçu. C'est plutôt maintenant que je le découvre. Pareil avec Physical Graffiti, qui est long et qui a des morceaux qui ne me plaisent pas des masses. Ca dépend des attentes.
J'écoute maintenant PG en pensant plus à ce que d'autres groupes faisaient au même moment qu'à ce que Led Zep a fait avant.

Globalement, les gens découvrent souvent PG après le reste, et il ne prend son ampleur que lorsqu'on le détache du reste justement. Pareil pour Presence à mon sens. Les deux premiers donnent finalement une image réductrice du groupe.