ah oui

Je rêve du jour où les métalleux ne passeront plus pour des débiles mentaux dans les médias.

Mmmm déjà j'ai trouvé ça plutot bon enfant, et il faut être réaliste, l'ambiance était vraiment comme ça

Moi j'ai bien aimé ce reportage, et bon on est comme ça, on boit des bières et on gueule comme des cons, c'est fun

Enfin d'un autre côté, les mecs on les a pas obligés à montrer leur cul et à beugler comme des cons.

Ce qui est assez "dommage" c'est qu'effectivement tout le monde soit mis dans le même panier, mais c'est le cas dans tous les domaines musicaux/sociaux/etc.

Bien d'accord avec ça, c'est ce que je voulais dire. Je trouve ça dommage de montrer la frange la plus débile et beauf de notre mouvement. C'est comme si on montrait que les anarchistes/communistes/casseurs dans les manifestations. (Comment ça c'est déjà ce qu'on fait ?)

Ce que j'aime pas avec ce reportage (et avec ce journaliste en particulier, la tête à claque de service) c'est que pour faire de " l'humour " ils sortent totalement les images de leur contexte. C'est sur que quand tu attends un truc comme un concert des mets et que le jour arrive enfin, que tu te retrouves enfin avec pleins de types à qui les accords de "Master of Puppets" inspirent la même rage jouissive, tu as envie de crier et de te défouler. C'est de l'excitation presque chimique, rien à voire avec être un beauf ou pas. Des mecs qui montrent leur cul, y'en a partout, même dans les soirées de blousons dorés organisées par le BDE de l'école dont le journaliste sort surement.

Le coté "on est tous ensembles" accentue le défouloir. D'habitude il faut plutôt se retenir. Qui n'a jamais écouté "Cowboys From Hell" dans un metro plein de gens mal réveillés en se disant: Dommage que je puisse pas gueuler "ooooh cooooome on !"

Après si tu détache les images de ce contexte, en disant "regardez, des beaufs qui crient", là effectivement, ce sont des beaufs qui crient.

Mais ce journaliste je peux tellement pas l'encadrer. Il joue son rôle sans doute, mais arrg.

Hey les gars, détendez vous, et assumez votre statut de métalleux.

Le métal, C EST beauf.
La plupart de nos idoles sont même de bons gros beauf assumés, et loin d'être de grand penseurs raffinés.

Et alors? Depuis quand on en a quelque chose à foutre de l'opinion extérieure?



Mauvaise comparaison.
Je ne suis absolument pas certain que ça soit une minorité. Suffit d'observer nos grands rassemblements (wacken et consorts) pour s'en rendre compte.

Vous pensez réellement appartenir à un mouvement d'intellectuels?? Moi pas. Et pourtant, je ne pense être ni beauf, ni con, juste lucide

tu m'étonnes. Les tonnes de canettes de bière sur les marches du POPB, c'est pas Canal qui les a amenés

Ça doit pas intéresser beaucoup de monde, mais le titre qui me manquait c'était Imperium.
Ils ont joué les mêmes titres le lendemain ?

Non.

Clenching the fist of dissent
Imperium
Ten ton Hammer
Aesthetics of hate
Halo
Davidian

Aesthetics Of Hate, rien que pour le duel de solos, ça doit bien rendre.

avec un son aussi mauvais, rien ne pouvait bien rendre

les 2 concerts, grand moment, set list bien changé pour le 2ème soir, 9 changements, une putain de pêche !

en plus, jai un médiator !

concert vu dans les 1ers gradins, pile en face de la scène sur le coté longueur. Un MetallicA impérial !

pour en revenir au reportage, les mecs de Canal ne cherchaient que des mecs "à tête de vainqueurs", dès qu'un metalleux tenait un discours censé ils coupaient en le vanant "hey t'es pas un metalleux toi !", bref, ils voulaient du gros bourrin et ils en on trouvé à la pelle !!

edit : j'ai vu la set list du 2 avril ... putain z'ont joué All nightmare long et My apocalyspe

Video de qualité quasi optimale pour la reprise de motorcycle man avec Biff :
http://www.megaupload.com/?d=BJIHGTNB (100mo)

Et ce monsieur a fait 4 montages de morceaux de la 2e soiree (son d'excellente qualité)

http://www.youtube.com/user/wastedVSvideo

Pour le reportage, rien de nouveau sous le soleil. Ca fait 25 ans que ça dure http://www.youtube.com/watch?v=5jjakbJbMNU

Ben bien sur que c'est beauf le metal. Pour porter des tee shirt noirs cradingues sur un bourlet de bide et les cheveux jusqu'au milieu du dos reste plus que le metalleux et Roger du camping de Pont Saint Esprit.

Mais c'est ca qui fait son charme. T'as l'impression de retomber à tes 15 ans. Tt que c'est assumé ca le fait.

Apres je sais que y a 2 ou 3 gonzs un peu coincés qui voudraient rendre le metal elitiste et bien plus mature que ce qu'il est.
Moi je trouve ca con, tu ne fais jamais rien de bon dans la moderation.

Apres ils auraient pu prendre douggy ou joc avec sa tete de cultivateur de courgettes labelisées 100% souche bio du Limouzin.
On serait tous passé pour des hippies amateurs de Yoga et bouffeur de tofu, plus moyen de rouler des mechaniques en se prenant pour des gros warriors apres ca.

Je confirme, personnellement je m'en fous de passer pour un crétin d'ado attardé parce que j'ai les cheveux longs et que je gueule pendant un concert, l'attitude metal c'est beauf et ce qui compte c'est qu'on se marre bien

Sinon voici ma review du 2 avril :

Ma copine, 2 potes et moi arrivons a nous placer en 2e rang de la fosse côté ingé son après une attente sympatique avec un beau temps. Après une attente avec une playlist pas trop mal en fond et quelques publicités (dont celle de Guitar hero Metallica :P), le premier groupe, The Sword fait son entrée. Je n'ai pas du tout aimé, le son était merdique, la musique semblait molle et les membres avaient un balai dans le cul, tout particulièrement le chanteur, pas très mis en valeur dans la balance et qui avait pas beaucoup de coffre faut le dire. Pour la dernière chanson, Lars est venu remplacer le batteur, c'était sympa de le voir mais bon, je suis pas fan de son jeu et il était égal à lui-même ici, donc c'était pas si fameux.

Après une vingtaine de minutes d'attente, les tant attendus membres de Machine Head font leur entrée, et là on a tout de suite eu droit à autre chose.

Voici la setlist :

Clenching The Fists Of Dissent
Imperium
Ten Ton Hammer
Aestetics Of Hate
Halo
Davidian

Le groupe commence donc avec le titre d'intro du dernier album The Blackening (bientôt 2 ans qu'il est sorti quand même), Clenching The Fists Of Dissent, une bonne bombe de 10 minutes qui détruit tout sur son passage. Le son était très mauvais, le fait que personne ne soit au poste d'ingé son peut en partie expliquer cela. En tout cas, le groupe est très présent, ils n'hésitent pas à aller' dans tous les coins pour voir les fans, étonnament peu nombreux. Effectivement, l'ambiance était relativement pourrie de notre côté, mes potes et moi semblions être les seuls à ne pas s'ennuyer. Contrairement à l'autre groupe, Rob était très en voix, ce gars est impressionnant en live, par son chant et ses qualités de frontman, et ce malgré un public peu réceptif (je pense au passage des "Fight !" de cette chanson).
Le groupe passe ensuite à Imperium, très bon titre d'ouverture de Through The Ashes Of Empires, pas aussi alambiqué que le précédent, mais avec un refrain très efficace, c'est un plaisir de pouvoir gueuler avec Rob. Dommage que le son avale les solos.
On passe ensuite à un classique du groupe, Ten Ton Hammer, titre que je connais mal car extrait de l'album The More Things Change que je n'aime pas beaucoup, et l'effet de bouillie que provoquait le son plus qu'approximatif n'a pas aidé... Donc j'avoue que je n'étais pas trop dedans. Rob nous dit ensuite que c'est le dernier jour de la tournée avec Metallica, que c'était un plaisir de la finir à Paris, et aussi que c'est l'anniversaire de Phil Demmel. On a donc eu droit à un Happy Birthday à la disto, et ceux du public qui le voulaient bien qui chantaient, un bon moment.
Rob nous dit ensuite que la prochaine chanson parle d'un de leurs défunts amis, Dimabag Darrel, et après avoir joué les premières notes de Welcome Home (Sanitarium), le groupe enchaine sur l'intro de Aestetics Of Hate autre titre de The Blackening, bien puissant, avec des membres toujours aussi présents et un Rob toujours en forme, dommage que le son pourri avale les solos, l'interprétation semblait pas dégueu du tout.
Nous avons ensuite droit à ce qui est pour moi la masterpiece du dernier album, j'ai nommé l'excellente Halo, une vraie merveille de puissance et de mélodie, ici très agréablement interprétée, avec un Rob qui nous demandait sans arrêt de headbanguer. On ne s'est évidemment pas gênés pour gueuler le magnifique refrain (HALOOOOOOO...), tant pis pour nos voisins rabat-joie. A noter que cette fois on a correctement pu entendre le duel de solos ainsi que la magnifique montée en puissance, ce titre est décidément très bon en live.
Alors que le titre est à peine fini, Rob gueule déjà la célèbre phrase "Let freedom ring with a shotgun blast !", et c'est évidemment le classique Davidian qui est joué, morceau très pêchu qu'on ne présente plus avec ce refrain certes basique mais tellement fédérateur, et ce riff final bien crade et si propice au headbang, cette chanson est une merveille, et évidemment parfaite pour clore un concert de Machine Head.
C'était donc la première fois que je les voyais en concert, et je n'ai pas du tout été déçu, le groupe était content d'être là malgré l'ambiance qui aurait pu être bien meilleure, pourtant je pensais que Machine Head était connu et apprécié des fans de Metallica, et je vois peu de groupes dignes d'ouvrir un tel groupe (quoique Testament en plus de Machine Head ça le ferait méchamment). J'espère pouvoir aller au hellfest pour les voir en tête d'affiche.

Après trois bon quarts d'heure d'attente, les lumières s'éteignent, on entend les battements de coeur ralentissant caractéristiques de l'ouverture de Death Magnetic, soutenus par des claps bien sentis, l'ambiance semble remonter, pas de doute, Metallica est prêt à faire son entrée.

Voici la setlist :

That Was Just Your Life
The End of the Line
The Four Horsemen
Holier Than Thou
One
Broken, Beat & Scarred
My Apocalypse
Sad But True
Bleeding Me
All Nightmare Long
Kirk Solo
The Day That Never Comes
Master Of Puppets
Fight Fire With Fire
Kirk Solo
Nothing Else Matters
Enter Sandman

~~~ Rappel ~~~

Motorcycle Man (feat. Biff Byford)
Hit The Lights
Seek and Destroy

C'est avec un lightshow sublime que Metallica démarre That Was Just Your Life, titre d'ouverture du petit dernier, Death Magnetic, et l'ambiance n'a rien a voir avec les premières parties, ça pogotte, ça pousse de partout, on est bien à un concert de Metallica. le groupe, quant à lui, semble très en forme, James est bien en voix aussi, et ce titre, déjà très bon en album (n'en déplaise aux détracteurs, j'aime bien Death Magnetic, malgré ses défauts évidents).
Le groupe enchaîne sur The End Of The Line du même album, avec son intro tirée de la première "new song" de 2006. Ce titre passe très bien l'épreuve du live aussi, avec ses riffs et son refrain accrocheurs, et ce petit break calme dans lequel James chante doucement "the slave becomes the master"...miam ! Les solos de Kirk semblaient un peu brouillons tout de même, mais bon, on y est habitués...
James prend ensuite la parole pour nous dire que les nouvelles chansons vont bien avec les anciennes, et The Four Horsemen démarre. on a droit à une interprétation bien musclée de ce très bon titre de Kill'em All, co-signé par Dave Mustaine. Le refrain est bien évidemment repris en choeur par la foule, un bon gros moment de thrash interprété dans la joie et la bonne humeur.
Le groupe enchaine sur un titre du Black album assez peu souvent interprété que j'aime beaucoup, Holier Than Thou, bien qu'assez simple, il reste efficace et accrocheur, c'est pas un classique mais ça reste une bonne surprise (pour moi en tout cas). A noter que le son du groupe est bien meilleur que les premières parties, les aigus comme les graves sont audibles (bon évidemment c'est bercy, ça reste imparfait).
Les lumières s'éteignent ensuite pour nous laisser écouter des échanges de coups de feu, qui ne sont pas sans rappeler One, grand classique du groupe, qui laisse apparaitre des jets de flammes. on voit ensuite James puis Kirk interpréter l'intro toute en douceur de ce grand titre. Lars et Rob font ensuite leur entrée. James est toujours aussi en voix, et la foule ne manque pas de le soutenir. On a donc droit à une interprétation bien plus propre que celle d'Arras, particulièrement pour la partie instrumentale qui était vraiment dégueulasse. Elle n'était bien sûr pas parfaite, mais lars a fait des efforts en ce qui concerne la double, et Kirk était plus appliqué.
Après un bref discours parlant des problèmes qu'on traverse dans la vie, James démarre Broken, Beat And Scarred avec un "What don't kill you make you more strong !" bien senti. Ce titre de Death Magnetic passe lui aussi très bien l'épreuve du live, en effet le riff accroche bien et les paroles sont assez faciles à reprendre. De plus le groupe est toujours en forme et content d'être là, les sourires sur leurs visages faisant foi.
Le groupe enchaine avec un autre titre de Death magnetic, un de mes préférés, My Apocalypse, titre thrash rapide et pêchu, un bon final d'album à la manière des anciens, et clairement taillé pour le live, grace à son côté incisif et son chant aggressif. Donc j'étais clairement à fond dedans, dommage que le chant de James n'ait justement pas été assez aggressif, sinon du tout bon, le break bien foutu, le public qui participe, que du bonheur.
James se met ensuite pile en face de nous et gueule "Do you Want Heavy ? 'Tallica gives you heavy baby" à la manière du Cunning Stunts et le titre qui suit est bien évidemment le heavy Sad But True, un grand classique du black album, et pour cause, un mid-tempo de cette trempe on en pond pas tous les jours, et la foule est bien sûr très réactive.
Il est temps de calmer le jeu avec une ballade bluesy extraite de load, Bleeding Me que j'aime beaucoup, bien que Load soit l'album que j'aime le moins du groupe. Elle est interprétée de manière propre, le chant posé de James est du plus bel effet, et la progression lente du blues au heavy de cette chanson est très appréciable, c'est un plaisir délectable que de la redécouvrir sur scène, une très belle surprise pour ma part.
La scène s'obscurcit ensuite pour laisser entendre la bande de l'intro de All Nightmare Long, mon titre favori du dernier album, avec son riff limite Death et son refrain énorme. Au programme interprétation réussie (à part les solos brouillons, merci Kirk...) et gros délires (but your luck runs outah !). Un autre grand moment du concert donc, avec une fosse plus excitée que jamais.
Mais chaque médaille a son revers, et après un solo pas si mal de kirk, c'est The Day That Never Comes qui commence. Je ne suis pas fan de cette chanson déjà sur album, mais sur scène c'est encore pire. La première moitié mielleuse passe encore, mais le côté décousu et bordélique de la partie instrumentale est révélé au grand jour, car il est d'une part moyennement interprété, et d'autre part très ennuyeux, les riffs sont placés ça et là sans qu'on sache trop pourquoi, on sait pas ou on va, bref le final est pourri et ça se ressent malheureusement trop bien en live. Seul le lightshow valait la peine, avec les cercueils-projecteurs qui tournaient dans tous les sens, très sympa à voir.
Heureusement le groupe enchaîne avec une valeur sure, chanson indémodable, Master Of Puppets, une machine à faire chanter, pogoter, bouger, crier, etc... le groupe reprend du poil de la bête pour notre plus grand bonheur, le riff mélodique est encore repris en choeur (ha ces ho ho... un moment toujours aussi magique), les cris torturés de James sont toujours présents...impossible de se lasser de ce titre.
Et comme une bonne surprise (enfin surprise...on s'attendait à ce qu'ils la jouent) ne vient jamais seule, c'est la bande de l'intro de Fight Fire With Fire qui retentit sous les acclamations du public, et le groupe arrive pour nous interpréter une de ses compos les plus brutales. Le chant de James n'est certes pas aussi hargneux qu'avant, mais le titre est quand même une tuerie en concert avec des membres bien en forme et un public bien décidé à prouver qu'il n'est pas venu voir Chantal Goya. Pendant le break, James harangue la foule avec un "Are you alive ? How does it feel to be alive ? Show me !" comme dans Battery sur le S&M, il recycle ses formules c'est vrai, mais ca fait quand même plaisir de les réentendre. Par contre James n'est apparament plus capable d'assurer le final, il se contente de crier "Fight" au lieu de scander la pharase complète, dommage, mais cela n'a pas nuit au plaisir de vivre cette chanson en live croyez-moi.
Après un autre solo calme de Kirk, on a droit a la ballade classique Nothing Else Matters, c'est le moment de sortir les briquets. L'interprétation est carrée, James est juste, rien à dire là-dessus, dommage qu'on l'entende un peu trop souvent, mais c'est un de leurs classiques, on peut pas leur en vouloir. Rien à redire sur l'interprétation du morceau.
On enchaîne sur un autre classique du groupe, tiré du même album, Enter Sandman, chanson typique d'avant-rappel, bien groovy, c'est toujours un plaisir de l'entendre , impossible de se lasser de ce riff entêtant, de ce chant malsain... Et en plus les solos m'ont pas semblé trop mauvais, bon point pour Kirk ! Et le final est toujours aussi réussi, avec une foule très participative.
Vient ensuite un court rappel, et le groupe revient sous les acclamations du public, avec d'abord kirk qui nous joue l'intro de Frayed Ends Of Sanity avec les "hohoho" du public, mais il s'arrête subitement et James prend la parole pour nous dire que c'est toujours bon de tourner après toutes ces 20 et quelques années (on a droit aux blagues comme quoi il vieillit, qu'il devient sourd et gâteux) et nous dit que leur second show était une première partie de Saxon, c'est pourquoi il nous présente Biff Byford, chanteur de Saxon, et le groupe nous sert alors une interprétation musclée de Motorcycle Man. Inutile de dire que c'est une énorme surprise pour tout le monde, et j'étais très content qu'ils interprètent un titre de Wheels of Steel, seul album de Saxon que je possède. Biff nous sert une bonne interprétation de son morceau, avec ce qu'il faut de pêche, et on a eu droit à quelques sifflements sympathiques.
Une fois le chanteur parti, James nous parle de Kill'em All, et le groupe part sur Hit The Lights, le titre d'ouverture très rapide et efficace, une autre bonne surprise, dont le groupe semble friand ce soir-là.
Vient ensuite le moment du final, james demande d'allumer les lumières pour voir tout le monde chanter le titre suivant, le final classique mais tellement bon, Seek & Destroy, la merveille de Kill'em All, ici bien interprétée avec un lâcher de ballons des plus appréciables. Le titre est là aussi très bien interprété, on voit que le groupe est en forme jusqu'au bout et James tient toujours à faire participer le public, je ne vois pas un autre titre plus approprié pour finir un tel concert.

Inutile de dire que j'ai énormément apprécié ce concert, peu de bémols pour une multitude de bons moments, une excellente première partie, l'idée de la scène centrale est bien mais sert plus aux gradins qu'à la fosse, ce qui ne m'a pas empêché de grandement apprécier ce concert, la mise en scène était excellente, avec les cercueils faisant les lights, une bien bonne idée. En ce qui concerne la setlist, seulement 6 titres en commun avec Arras, plus de surprises, que du bonheur. Certainement le meilleur concert auquel j'ai pu assister.