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Chimera
Soundchaser
Inscription: 22 Sep 2008 21:42 Messages: 472
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J'ai pas vu les 2 fins mais j'ai gardé un souvenir mitigé du film. Et j'ai trouvé John Cusak moyen... chose qui d'ailleurs m'avait penser que le film aurait peut-être eu un meilleur rendu avec un autre acteur. Cela dit, il est loin d'être raté, l'atmosphère huis-clos est réussie, ça prend bien aux tripes mais je suis restée un peu déçue quand même.
EDIT: Ah oui, les deux fins... ben c'est très simple, une c'est une sorte de happy ending, l'autre non. Mais le happy ending ne colle pas trop au reste du film, ça fait trop américanisé. L'autre va au bout de l'idée du film, elle est plus appropriée. D'ailleurs, maintenant que j'y pense, je crois que justement la fin m'avait déçue (la version non happy ending donc).
_________________ Tout a une fin sauf la saucisse qui en a deux.
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28 Jan 2009 15:27 |
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Heavy REM
Skeleton In The Forum
Inscription: 04 Aoû 2006 22:56 Messages: 9663 Localisation: Au fond à gauche
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Donc tu voulais une fin américanisé qui colle pas trop au reste du film.
Dur à suivre.
Sinon je sais même pas de quoi vous parlez. C'est quoi ce film ? (j'vais pas lire les spoilers pour avoir envie de le mater quand même...)
_________________ If we keep our pride / Though paradise is lost / We will pay the price / But we will not count the cost. Inoxydable - Blog hard // punk // rock
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28 Jan 2009 19:22 |
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Chimera
Soundchaser
Inscription: 22 Sep 2008 21:42 Messages: 472
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Tu m'as mal comprise, justement, la fin américanisée ne colle pas au reste du film donc j'aurais préféré découvrir le film avec l'autre.
Voilà l'histoire: le héros, Mike qqch, est un auteur de livres d'épouvante qui n'a pourtant jamais cru aux trucs surnaturels. Il entend parler de l'existence de la chambre 1408 dans le "Dolfin (Delfin? je sais plus) Hotel" et décide d'aller y passer une nuit pour tester la chose. Le directeur de l'hôtel (Samuel L. Jackson) essaie de l'en dissuader en lui expliquant qu'il y a eu je sais plus combien de morts mystérieuses qui ont frappé les résidents de cette fameuse chambre depuis des dizaines d'années, mais l'écrivain s'en fout et la loue pour une nuit. Une fois là dedans, il va lui arriver tout un tas de trucs bien flippants...
C'est adapté d'un King donc fallait réussir à reproduire l'atmosphère et c'est le cas. Seul John Cusak me semble un peu à côté par moments.
_________________ Tout a une fin sauf la saucisse qui en a deux.
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28 Jan 2009 19:32 |
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ZiGGy
Skeleton In The Forum
Inscription: 15 Mar 2004 23:51 Messages: 5370 Localisation: Saint Ganton
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Heavy REM a écrit: Donc tu voulais une fin américanisé qui colle pas trop au reste du film. Dur à suivre.
Sinon je sais même pas de quoi vous parlez. C'est quoi ce film ? (j'vais pas lire les spoilers pour avoir envie de le mater quand même...)
Une adaptation d'une de ces nouvelles égocentriques que King pond avec régularité et qui mettent toujours en scène un écrivain dépressif en huis clos.
En l'occurrence, John Cusak en spécialiste du guide du routard paranormal blasé qui se retrouve seul dans une chambre d'hôtel maléfique - an evil fucking room - qui se la joue psychanalyse pour le pousser à bout. C'est sobre, Cusak et le scénario tiennent bien le premier degré (jamais d'échappatoires évidentes que le perso ne prend pas, ni de réactions trop connes comme prétexte à faire avancer l'histoire, pour une fois on peut apprécier le bonhomme), et surtout ça évite de s'enfermer dans l'horreur et le gore, puisqu'un unique personnage empêche de multiplier les effets du type "Bouh / couic !"
En bref, du bon fantastique psychologique. Horrifique si l'on veut. Quelques scènes vraiment bien trouvées sont au top de ce qui a été fait dans le genre depuis longtemps (sans spoiler : le gag du réveil (tiens y'en a deux, selon le sens qu'on donne à "reveil"), jouant sur un cliché du genre pour déstabiliser le spectateur dans ses attentes, est particulièrement réussi), ce qui sans en faire un grand film suffist à en faire une exception dans un genre agonisant : quiconque me cite un autre film récent apparenté à l'horreur et fonctionnant au premier degré gagne une cacahuète (le second degré, c'est pas l'humour, c'est le décalage : on peut faire de l'humour au premier degré, on peut être mortellement sérieux au second).
_________________ Je veux bien laisser Ziggy partir en envolées lyriques sur du black-métal norvégien en spandex léopard, mais Pet Sounds faut pas déconner.
En fait ton metal est à mon metal ce que mon café est à ton café.
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28 Jan 2009 19:55 |
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Poulpe
Crimson Idol
Inscription: 14 Mar 2004 15:50 Messages: 2034 Localisation: The disenchanted forest
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Chimera a écrit: Tu m'as mal comprise, justement, la fin américanisée ne colle pas au reste du film donc j'aurais préféré découvrir le film avec l'autre.
Faut dire que c'est dur de comprendre quand tu écris l'inverse de ce que tu penses. 
_________________ "Pour passer de 100 à 83, nous n'utilisons pas, nous, scientifiques, la règle civile de 3 parce que bon voilà. On utilise une règle un petit peu à nous qui est la règle de : 3 [(3^1 x 1) / 3]. On obtient des résultat sensiblement équivalents."
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28 Jan 2009 20:11 |
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Chimera
Soundchaser
Inscription: 22 Sep 2008 21:42 Messages: 472
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Ah ouais, crotte de bique, j'ai dû relire ma phrase 12 fois pour enfin remarquer que j'avais écrit un "non" en trop.
Donc ouais, la fin pas happy est mieux, mes plus plates excuses à REM. Voilààà!
_________________ Tout a une fin sauf la saucisse qui en a deux.
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28 Jan 2009 20:19 |
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Muscu
Long Distance Runner
Inscription: 29 Mai 2004 22:27 Messages: 4420 Localisation: Paris
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Putain Morse ( Låt den rätte komma in en vo) c'est chiant.
Long à démarrer, long à se terminer, même long au milieu...
Ok le point positif c'est qu'on est loin de toutes ces saloperies de films de vampires pour émo goth, mais bordel, l'ennui quoi.
J'suis pas contre les films d'auteur, mais même en le prenant comme ça... bof.
Et puis j'aime pas les films dont les persos principaux sont des gosses.
J'en avais lu que de bonnes critiques, ben j'suis bien déçu.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... pub=1.html
_________________ Ma page Last.fm Ma page RYM
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13 Fév 2009 20:52 |
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Cleymor
Skeleton In The Forum
Inscription: 29 Avr 2004 14:18 Messages: 5056 Localisation: Atlantis
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11 Mar 2009 8:34 |
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noise
Ce mec a floodé, je l'ai vu !
Inscription: 14 Mar 2004 20:49 Messages: 25655 Localisation: Cambrai
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_________________ It's the nexus of the crisis and the origin of storms
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11 Mar 2009 8:36 |
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Cleymor
Skeleton In The Forum
Inscription: 29 Avr 2004 14:18 Messages: 5056 Localisation: Atlantis
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Bon alors j'ai vu Martyrs hier.
C'est moi ou ca n'a strictement ni queue ni tete comme film?
je ne comprends pas tt le plat qu'à fait ce film à sa sortie vu qu'on se fait chier et on ne comprend rien grace à rythme incroyablement changeant et à un decoupage catastrophique.
Mais je crois en fait que le gros probleme vient du fait que le sujet traité par le film est tout simplement absurde et bancal.
Je ne vais pas spoiler mais dans leur definition du Martyrs ils ont oublié quelques petites données sommes toutes assez importantes telle que : le don de soit, la participation à un but plus grand, une foie en quelque chose.
Bref plein de choses qui manquent et qui forcement font qu'on ne sait pas si tt cela n'a pas une vaste grande farce.
On nappe tt ca de quelques clichés ringards, de scenes improbables et de trous dans le scenario et on obtient un film plutot mauvais.
Ce qu'on peut retenir :
- La 1ere partie du film, plutot bien reussite et interessante.
- Une thematique original et passionnante meme si c'est tres mal traité
- un esthetisme absolument bluffant. Etre en emerveillement devant des trucs plutot cradingues et trouver meme parfois de la beauté dans tt ca, fallait vraiment le faire.
Par contre j'avoue qu'on ressent un malaise profond à la fin du film et que personnellement je n'ai aucune envie de le revoir. Est ce que c'est bien?
Je ne crois pas.
Autant un film comme bug m'a retourné le cerveau et m'a fait reflechir un long moment, la c'est juste un truc traumatique au niveau du cradingue.
Personnellement je ne suis pas de ces effets de choc.
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13 Mar 2009 15:25 |
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Behemoth
Long Distance Runner
Inscription: 22 Mar 2004 11:13 Messages: 4606
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Le découpage est le changement de rythme est forcément voulu, c'est un film qui assume pleinement ses 3 actes (enfin je crois qu'il y en a 3).
A côté de ça, la définition du terme martyr est bien spécifiée dans le métrage "témoin de dieu" ou je sais plus trop quoi. Bref, la signification première, dérivée du grec.
Dans ce sens, le terme est parfaitement respecté.
Pour le reste y a plein de défauts (le grand gourou, mouarf), mais le film est une telle expérience en soi que je ne peux le qualifier de mauvais, moi qui cherche constamment à être poussé dans mes retranchements.
Certes, on est plus dans une réaction physique qu'intellectuelle, mais l'effet est réel.
J'ai un meilleur souvenir de la premiere partie que de la seconde...
Sinon j'aime beaucoup : "le don de soit... une foie en quelque chose"

_________________ Chromatique.net, le webzine des musiques progressives, innovantes et inclassables
https://fr-fr.facebook.com/chromatique.net
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13 Mar 2009 16:16 |
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The Ancestor Of Metal
Ce mec a floodé, je l'ai vu !
Inscription: 15 Mar 2004 8:23 Messages: 10684 Localisation: Val d'Oise (95)
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Marrant, ces commentaires m'ont fait penser à un film des plus bizarre des années 70 : La Montage Sacrée, un truc complètement halluciné.
_________________ Its' been a long long time... Hasn't it ?
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13 Mar 2009 16:30 |
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Cleymor
Skeleton In The Forum
Inscription: 29 Avr 2004 14:18 Messages: 5056 Localisation: Atlantis
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Behemoth a écrit: A côté de ça, la définition du terme martyr est bien spécifiée dans le métrage "témoin de dieu" ou je sais plus trop quoi. Bref, la signification première, dérivée du grec.
Pour moi c'est comme essayer de recreer un ecosysteme d'un recif tropical dans un aquarium.
Au 1er coup d'oeil tu vois que c'est pas comme en vrai et tu sais que quoique tu fasses tu ne pourra jamais le recreer. Pour la bonne et simple raison que y a certains mechanismes qui ne repondent à aucune logique et qui sont pourtant essentiel à la symbiose de l'ensemble.
J'en donne juste un pour l'exemple. La spontaneité est quelque chose que par definition tu ne peux prevoir, ni quantifier, ni reellement definir. Pourtant c'est un element indispensable du comportement humain (ou animal)
Donc pour moi ca ne tient pas debout, c'est totalement bancal et je ne pourrai jamais adherer à cela.
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13 Mar 2009 17:08 |
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Cleymor
Skeleton In The Forum
Inscription: 29 Avr 2004 14:18 Messages: 5056 Localisation: Atlantis
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Y a une rubrique animation mais c'est de l'anime jap donc je vais poster ca ici car c'est Fantastique :
Donc juste parce qu'on ne peut pas passer à coté de moments de magie comme cela :
Citation: Les Contes de l'horloge magique est une adaptation contemporaine de trois courts métrages du pionnier et géant de l'animation Ladislas Starewitch, qui réalisa une centaine de films entre 1911 et 1965.
Esprit indépendant et volontiers facétieux, Ladislas Starewitch s'intéresse à la peinture, à la photographie, au théâtre et à l'entomologie. Afin d'expliquer la vie des insectes, il décide de les filmer, sans grand succès. Il utilise alors des insectes naturalisés qu'il anime image par image. L'effet est extraordinaire ; on croirait qu'il dresse des scarabées. À partir des années 20, il consacre tout son temps à cette passion, réalisant seul les marionnettes, le scénario, la partition musicale, l'animation… Sa production artisanale atteindra une centaine de films de grande qualité.
Le programme présenté au Festival réunit trois films colorisés et numérisés, réalisés entre 1924 et 1928. Devant une grande horloge où s'animent trois automates, Nina, la petite fille de l'horloger, se met à rêver. La voici tour à tour chanteuse des rues, ballerine amoureuse d'un petit soldat de plomb, puis princesse à la recherche de son beau chevalier. De cambriolage en attaque de château fort, de sirène en dragon, l'aventure ne s'arrête jamais… comme les aiguilles d'une horloge. Mêlant animation de marionnettes, trucages et prises de vues réelles, Ladislas Starewitch développe dans ses courts métrages des trésors d'imagination, d'humour et de poésie. Sa propre fille, Nina Star, y tient la vedette. La Petite Chanteuse des rues, La Petite Parade et L'Horloge magique comptent parmi ses chefs-d'œuvre et sont rassemblés dans le programme Les Contes de l'horloge magique.
Restaurés par Léona-Béatrice Martin, petite-fille du réalisateur, et conservés dans leur intégralité, ces trois courts métrages sont accompagnés d'une musique de Jean-Marie Sénia et d'un texte narré par Rufus. Entre chaque conte, Jean Rubak a réalisé une séquence d'animation qui suit les pulsations régulières de l'horloge. Un hommage au magicien Starewitch, génial devancier de Ray Harryhausen, Terry Gilliam et Tim Burton.
http://www.youtube.com/watch?v=MlvzFesXURA
Je pense que ca doit etre tt simplement genial à voir, j'ai vu une salle qui le passait sur lyon
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02 Avr 2009 14:32 |
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Heavy REM
Skeleton In The Forum
Inscription: 04 Aoû 2006 22:56 Messages: 9663 Localisation: Au fond à gauche
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Behemoth a écrit: Le découpage est le changement de rythme est forcément voulu, c'est un film qui assume pleinement ses 3 actes (enfin je crois qu'il y en a 3). A côté de ça, la définition du terme martyr est bien spécifiée dans le métrage "témoin de dieu" ou je sais plus trop quoi. Bref, la signification première, dérivée du grec. Dans ce sens, le terme est parfaitement respecté. Pour le reste y a plein de défauts (le grand gourou, mouarf), mais le film est une telle expérience en soi que je ne peux le qualifier de mauvais, moi qui cherche constamment à être poussé dans mes retranchements. Certes, on est plus dans une réaction physique qu'intellectuelle, mais l'effet est réel. J'ai un meilleur souvenir de la premiere partie que de la seconde... 
Je l'ai vu hier, suite à ton post.
Putain de remuant. Je sais pas quoi en penser. J'ai passé le "troisième acte" en accéléré tellement j'ai trouvé ça insoutenable (tout en me disant "t'es une merde de voyeur vicelard de mater ça"). La fin et le semblant d'explication scénaristique donne quand même du sens et m'ont donné à réfléchir à ce que j'avais vu (j'ai donc du mal à trouver ce film merdique).
Une de mes réflexions était : "putain c'est atroce, mais finalement l'expérience n'est pas si éloignée que celle montrée dans "V pour Vendetta", et dans ce dernier je ne l'ai pas trouvé aussi atroce).
Bref, je sais que je n'ai pas aimé (j'ai pas passé un "bon moment"), mais je ne sais pas si c'est un bon ou un mauvais film. Pour le moment j'sais pas quoi en penser. Dans tous les cas c'est une "expérience".
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27 Avr 2009 9:03 |
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Cleymor
Skeleton In The Forum
Inscription: 29 Avr 2004 14:18 Messages: 5056 Localisation: Atlantis
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Je vais me repeter mais pour moi c'est certe une experience mais une experience qui ne trouve aucune justification credible.
Bcp trop de gratuité s'appuyant sur un scenario tirant d'enormes ficelles pour marcher.
Non definitivement j'ai eu le tps d'y reflechir et avec le recul je me sens trompé, le spectacle n'est la que pour la surenchere, le discours qd à lui est totalement absent.
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27 Avr 2009 9:21 |
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Heavy REM
Skeleton In The Forum
Inscription: 04 Aoû 2006 22:56 Messages: 9663 Localisation: Au fond à gauche
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27 Avr 2009 9:49 |
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Behemoth
Long Distance Runner
Inscription: 22 Mar 2004 11:13 Messages: 4606
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Son discours se tient, d'autant que je fais parti des spectateurs qui ont "vécu" le deuxième chapitre comme une véritable transe et pas comme une séance de torture vicelarde.
Je suis juste un peu sceptique quant à la pseudo histoire d'amour qui transparait finalement assez peu dans le film, je me demande si ce n'est pas un prétexte mis en avant après la polémique.
J'ai aussi aimé que le film nous mette face à notre propre appréciation de l'horreur. Hostel, des tortures esthétiques, "pour de faux", allant bien plus loin que martyr, et bien ça passe.
On a déjà vu 3000 mecs se faire tabasser sur une chaise, mais comme on savait qu'il allait s'en sortir et qu'il balançait des punchlines, ça passe.
Là c'est une nana (et dans notre inconscient ça décuple l'impact), y a pas de musique suspens, pas d'échappatoire. Mais au final c'est la même séquence déjà vue 3000 fois, seulement cette fois ci notre conscience de cinéphile légèrement déviant a du mal à se dire "c'est pour rigoler".
Et ça fait un poil cogiter.
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27 Avr 2009 10:23 |
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Dark Schtroumph
Skeleton In The Forum
Inscription: 14 Mar 2004 23:12 Messages: 9025 Localisation: Savigny sur orge (91)
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Bon j'ai pas vu ce film (Martyr), mais d'après ce que vous en dites je me demande ce que ça apporte réelement de plus par rapport à ce que faisaient les italiens à la fin des 70's/début 80's?
Hostel c'est marrant, super gore, mais au final ça ma bien moins marqué que la scène de la perceuse du classique Frayeurs de Lucio Fulci (1980).
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27 Avr 2009 10:59 |
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Cleymor
Skeleton In The Forum
Inscription: 29 Avr 2004 14:18 Messages: 5056 Localisation: Atlantis
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le traitement clinique et hautement pessimiste sans aucun echapatoire symbole de notre epoque.
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27 Avr 2009 12:03 |
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