THE THIRD ENDING – The Third Ending – 2006
Rock Progressif, œuvre d'un groupe Australien, originaire de Tasmanie, ça ne s'invente pas... Une baffe totale. Ça faisait longtemps que je n'avais pas éprouvé ça dès l’abord... que je n'avais pas été scotché aux morceaux de la première à la dernière note de l'album, que je n'avais pas ressenti une telle joie fébrile à l'idée de prendre en pleine tronche la prochaine décharge émotionnelle, le prochain détail monumental... Ha putain que oui, ce disque me broie les tripes en même temps qu'il me fascine l'intellect. Je raffole particulièrement du chant et des soli du guitariste (dans Can You Hear Me, le solo acoustique, harmonieux et fragile, qui se métamorphose en un solo électrique bouleversant d’intensité… je reste sans mots), ces deux jeunots ont trop de facilité à me faire venir la larmichette... Stylistiquement, cette musique réussi l'exploit inouï d'être une imbrication atomique de l'essence même de deux de mes groupes préférés (DREAM THEATER et PORCUPINE TREE, pour ne pas les nommer...), et plus encore. Je craque complètement, à tel point que je suis incapable (et n’ai aucune envie) de me prononcer sur un clonage ou un plagiat quelconque, c’est hors de propos.
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Ce genre de choses n’arrivant pas tous les jours, que reste-t-il de cette déferlante après 5 passages au casque auditif ? Pas un chef d’œuvre non, mais un album étonnant de sensibilité et d’un professionnalisme à toute épreuve, un coup de maître en guise de coup d’essai… Maintenant je ne souhaite qu’une chose : que leur prochain opus sorte demain, et qu’il tienne les promesses de celui-ci !
Leur site, sur lequel figure quelques vidéos et autres, pour ceux qui veulent se faire une idée de la chose.
