Oui ben pousse l'étude un peu plus loin car c'est qd même bien mince comme argument. Dans ce cas la Requiem For A Dream c'est du Kubrick.
Alors oui y a des points communs (et autre que ceux cités) mais 2001 c'est tellement....vaste que je suis sur qu'on pourrait trouver un point commun avec 90% des films qui tiennent la route.

Bref la référence à 2001 c'est comme la référence à Apocalypse Now pour les films des guerre, à Die Hard pour les films d'action, à l'Exorciste pour les films d'horreur, etc
Ca va 5mn mais on ne va pas parler du nouveau Zidane à chaque fois que quelqu'un se pointe.
Alors qu'on fasse un parallèle entre un 2001 et un Solaris ou un autre film voguant dans les traces de son ainé ca me semble normal, la ca me semble juste un peu poussé même si je rappelle qu'on trouve des points communs aux 2.

Bref pour moi c'est qd meme tellement particulier que cela merite sa propre reconnaissance sans etre dans l'ombre de qui que ce soit. Surtout qd on voit le putain de realisateur qu'est aux commandes, le mec n'a pas attendu aujourd'hui pour affirmer son style.

Note pour plus tard: ne plus essayer d'argumenter avec Cleymor.

Dans ton profil tu peux choisir de mettre un forumer en "ignore".
Franchement, ça change la vie (sur le forum). Non parce que c'est un coup à y laisser la santé.

Surtout que le réalisateur ne cache absolument pas ses influences....bref.

C'est peut être un peu trop radical comme solution, c'est un coup à ne plus rien comprendre aux conversations ça.

Ou?

Moi la seule chose que j'ai vu c'est un journaliste qu'a lancé un pavé dans la mare en faisant le lien dans sa critique.
Ensuite niveau référence à part : "c'est au film de viking ce que 2001 est à la SF : Expérimental" ou encore des trucs incompréhensibles du genre : "Valhalla Rising est un objet filmique qu'on peut également voit comme le monolithe de 2001".

Ok bien...ok

J'ai aussi vu un parallèle avec le Snake de Carpenter. En effet comme ce dernier il n'a qu'un oeil. Du coup ca devient un argument irréfutable même si ce dernier semblerait qd même être grotesque.

Moi la seule chose que j'attends c'est un lien avec une analyse poussée sur le parallèle et pas 2 phrases sans aucun sens trouvé sur le net. Ou alors au moins une interview du real ou il parle de 2001.

Bref citer ses sources, partager de l'info, appuyer son argumentaire bref autre chose que de brandir le fleau du ignore à chaque fois qu'on vous gratouille pas derrière les oreilles.

J'hallucine...

Cleymor n'est jamais dans la conversation. Du coup c'est juste du confort.

Je crois que je vais opter pour cette solution. Malheureusement.

Mais de qui parlez vous au juste ?

On parlait de rien. C'est un "Seinfeld moment".

Je comprends mieux du coup

Reste à savoir qui de nous deux est Georges…

Bonne question.
Je pense être un mélange de Jerry et de Georges. J'ai un peu des deux (le côté emporté, impulsif de Georges et le côté cynique, adulescent de Jerry). Je pense que toi tu tends plus sur le Jerry par contre, avec un brin de NEWMAN.

Pourquoi changer de recette qd cette dernière s'accorde si bien ? :

« j’ai perçu chez 2 ou 3 le vilain frémissement des narines qui sentent venir les boules puantes et qui se régalent à l’idée de renifler les odeurs d’égouts. »

Vu aujourd'hui "Bus palladium", film évoquant les débuts d'un groupe rock à la fin des années 70 / début 80. C'est plutôt bien joué (à peu près tout le groupe est crédible, sauf le "manager"... Géralidine Pailhas quant à elle joue comme un sac, c'est dommage je l'aime bien, mais là, elle n'est pas crédible deux minutes). Comme d'habitude, le traitement de la partie musicale et créative est trop léger, l'essentiel étant l'amitié du chanteur et du guitariste, troublée par l'arrivée d'une jeune femme qui plaît aux deux.
Décevant. D'autant que les compos du groupe ont été écrites par Yarol (ex- FFF / Mud) dans un registre seventies plutôt sympa.

Pour la réalisatrice de La Rafle, ceux qui ne pleurent pas devant son film sont des nazis2010-09-23T09:49:00+0200
09h49 45 commentaires| Rose Bosch provoque la polémique en comparant les spectateurs insensibles à son film à Hitler.

Rose Bosch est sans doute allée trop loin. En pleine promo du DVD de La Rafle , la réalisatrice a eu des mots très durs envers les spectateurs qui n'auraient pas pleuré devant son film : “Je me méfie de toute personne qui ne pleure pas en voyant le film explique-t-elle au magazine Les Années Laser. Il lui manque un gène : celui de la compassion”. En gros, pour Rose Bosch, ceux qui ne pleurent pas seraient donc des nazis.
Premier long de cette ancienne journaliste, La Rafle revenait sur la tristement célèbre “Rafle du Vel d’hiv". En prenant le point de vue des victimes et des bourreaux et en adoptant également la vision de quelques enfants, son film avait le mérite de mettre en lumière ces journées tragiques de juillet 1942 durant lesquelles la police et la gendarmerie française ont raflé plus de 13 000 juifs. Mais exhumer les pages sombres de notre histoire suffit-il à faire oeuvre de cinéma ? A la sortie, les critiques étaient partagées : toutes reconnaissaient au film son “ambition pédagogique”, sa nécessité, mais certains le jugeait maladroit (Marianne), “formaté, amidonné” (Le Parisien) et considérait qu’il s’agissait “d’une mauvaise leçon de cinéma” (Positif). Ces critiques ne refroidirent pas pour autant le public qui se déplaça massivement dans les salles (2,8 millions de spectateurs)
Interrogé par le mensuel Les Années Laser, Rose Bosch est revenue sur les critiques adressées à son film. Et c’est à cette occasion qu’elle a tenu ces propos excessifs :

“Je n’ai pas eu besoin d’ajouter de la tragédie à la tragédie. J’ai moi-même vu de près les conséquences horribles de conflits, en Asie ou ailleurs, et je sais que dans ces moments-là, le sublime le dispute à l’horrible. Je sais aussi que partout, toujours, les enfants traversent tout ça soit en jouant à la guerre, soit en appelant leurs mères. Je n’allais quand même pas priver le public de ces émotions fortes et justes ! On pleure pendant La Rafle parce que… on ne peut que pleurer. Sauf si on est un « enfant gâté » de l’époque, sauf si on se délecte du cynisme au cinéma, sauf si on considère que les émotions humaines sont une abomination ou une faiblesse. C’est du reste ce que pensait Hitler : que les émotions sont de la sensiblerie. Il est intéressant de voir que ces pisse-froid rejoignent Hitler en esprit, non ? En tout cas, s’il y a une guerre, je n’aimerais pas être dans la même tranchée que ceux qui trouvent qu’il y a « trop » d’émotion dans La Rafle".

Je n'ai pas vu le film mais ...... se nommer Bosch et traiter les gens de nazis, je sais pas vous mais moi bah

Bon en même temps voila, beaucoup de bruit pour rien je trouve, y a qu'en France qu'on peut trouver ce genre de propos !!! On devrait donc tous pleurer devant n'importe quel meurtre mis en scène sur le grand ou le petit écran .... bon sang je suis donc un monstre, j'ai ri devant "c'est arrivé près de chez vous"

C'est amusant ce commentaire… J'suis allé voir "Des hommes et des dieux" il y a deux semaines. Je m'attendais à chialer, clairement. Et j'ai presque été "déçu" en sortant du film de ne pas avoir senti mon estomac se nouer, les yeux piquer etc.
Et puis, le film a fait son effet. C'est avec le recul que j'ai compris la pudeur du réalisateur, que l'émotion était bien là, mais suggérée autrement que par des violonnades, des ralentis et des yeux mouillés… Et je trouve le film meilleur plusieurs jours après qu'à la sortie de la salle. Bref, sans parler du point Goodwin, cette femme est une conne.

Elle ne doit pas supporter la critique et donc voila, les français sont des nazis si ils pleurent pas ....... dites, j'ai pas pleuré quand la mère Goebbels butent ses gosses dans La Chute, j'ai pas pleuré quand Hitler bute son chien ni quand il se bute, j'suis un monstre ?

La scène de meurtre des enfants dans "La chute" horrifie plus qu'elle n'émeut.

là, on sombre dans le grand n'importe quoi. décider carrément des réactions que doit ressentir un spectateur devant une oeuvre, je n'avais jamais entendu un truc pareil. il faut le voir pour le croire.
moi, je vais lui dire que si elle ne pleure pas en écoutant les jérémiades de sopor aeternus, alors c'est une homophobe finie, ahahahah.