Tu aurais dû venir mon petit Noise, tu aurais eu droit à ça comme set-list :

1ère partie :

THE ROOT OF ALL EVIL
PANIC ATTACK
ANOTHER WON
A FORTUNE IN LIES (là j'ai pété un câble dans la fosse, ce titre casse tout en live)
PULL ME UNDER (le tube !)
CAUGHT IN A WEB (depuis combien de temps ne l'avait-on pas eu dans les esgourdes celle-là ?...magique)
JUST LET ME BREATHE
FATAL TRAGEDY
ABOUT TO CRASH (REPRISE)
LOSING TIME / GRAND FINALE

Entracte:

2ème partie :

AS I AM (Enorme ambiance avec des slams, pogos...)
ENDLESS SACRIFICE (J'adore toujours autant ce titre live...TOT est peut-être l'album de DT qui est le plus transcendé sur scène)
THESE WALLS
SACRIFICED SONS
OCTAVARIUM (une intro envoutante avec un dantesque Rudess au continuum et le passage énervé de Labrie qui a tout cassé)

Rappel:

METROPOLIS PART 1 (YEEEEEES avec le break qui va bien, une intervention magique de Moore sur le devant de la scène saluée comme il se doit par un public de connaisseurs...une tuerie comme toujours).

BILAN :

Bon, c'était déjà mon 7ème concert de DT (et le premier à Lille comme quoi).

Je ne connaissais pas l'Aeronef (vu la programmation habituelle, j'ai très peu de raisons de m'y déplacer) : bonne surprise. Bon, le quartier (dans les tours d'Euralille) est toujours aussi inhumain, affreux mais la salle est bien sympa (contenance 1000 personnes je dirais avec une mezzanine qui surplombe la fosse, des escaliers un peu partout). Bon c'est froid (beaucoup de métal, de grilles...), noir mais on voit superbement de partout, le son était propre...Mais je préfère toujours le Splendid.

Le public ? Environ 800 personnes : beaucoup de Belges, Hollandais. Des jeunes en nombre (c'est très sensible depuis SDOIT et surtout TOT : DT a gagné en jeunes metalheads ce qu'il a perdu en "vieux" progueux...). Le concert aurait eu lieu un vendredi ou un samedi, c'était complet, c'est sûr. En tout cas, l'ambiance était survoltée (ça a mis du temps à monter mais le Pull me under a lancé définitivement la soirée). Le groupe avait l'air touché par le dévouement, l'énergie du public dans une chaleur infernale. BRAVO LILLE

Moment marrant : avant le concert, des jeunes qui devaient découvrir DT (quelle chance non ?) m'ont interpellé car ils étaient admiratifs de mon vieux tee-shirt I&W, troué de partout (celui là il en a vu mais je garde une énorme tendresse pour ce bout de tissu avec les trognes du combo mythique de 1992 dont ce formidable Kevin Moore).

Le groupe ? En forme même si Portnoy avait l'air de souffrir physiquement (la chaleur, les concerts marathon qui se succèdent). Leur complicité est évidente, James Labrie fait le show, Petrucci malgré un look hum détonnant nous pond des chorus vibrants (je retiendrais parmi tant d'autres le solo de sacrificed sons), Portnoy n'a plus une batterie mais un char d'assaut (comme le regretté Eric Carr) et il se sert de tout l'animal, Rudess est très innovant sur les sons de ses différents synthés (et ce continuum les amis, quelle trouvaille), Myung est écoeurant de talent...Bravo aux 5 fantastiques !

MERCI A DREAM THEATER D'ETRE TOUJOURS LA ! LONG LIFE, YOUR MAJESTY

En es-tu vraiment certain? C'était Roger non? Lova? Enfin c'est plus probable que l'autre non?

Sympa ton cr en tous cas

Hi hi, effectivement je me suis emmelé le clavier...il fallait bien sûr lire Myung

Vous remarquerez que fidèle à une tradition formidable de respect envers ses fans, son répertoire..Dream Theater a encore refondu sa set-list. Je crois qu'il n'y a que 4 ou 5 titres de commun avec celle de Paris. Merci à eux (et certains groupes feraient bien de suivre cet exemple).

Je dois reconnaitre que, bien que n'étant pas super fan de DT, le fait qu'ils changent la setlist à chaque passage, c'est un plus indéniable pour les fans.
D'ailleurs même pour eux ça doit etre mieux en fait, parce que jouer la même chose tous les soirs ça doit finir par lasser.

Mouais. Ca peut aussi créer des frustrations du style woha, mon morceau préféré, ils l'ont joué à Petaouchnock mais chez moi...

Hey, ne poste plus, t'en es à 666 !
Sinon t'as pas tort non plus, ça dépend des fans.

C'est vrai aussi : j'ai pas eu droit à Learning to live par exemple ni à The spirit carries on ...bon en même temps si tu suis DT sur leurs différentes tournées, tu as énormément de chances de chopper tes morceaux favoris. Ou alors, ils font des concerts de 8 heures

C'est le style du groupe qui veut ça aussi...

DT, ils s'en foutent, à part Pull me under (qu'ils jouent régulièrement si ce n'est tout le temps) on peut pas vraiment dire qu'ils ont des "tubes" qui vont faire en sorte que le public va plus bouger sur tel titre ou tel autre...

Imaginez un concert de Maiden avec du Quest for fire, Charlott the harlott et the angel and the gambler et pas de 666 the number of the beast ni de Fear of the dark ou de Trooper, ça risque de pas chauffer très fort dans la fausse...

Ça chaufferait peut-être plus dans la vraie
(désolé)

Mais c'est vrai que le fait qu'ils n'aient pas de "super tubes ultra-classiques qu'il faut absolument jouer sous peine d'émeute" doit faciliter les changements de setlist.

N'empêche, 3h ça doit être long quand même (c'est pas parce que c'est DT que je dis ça, même 3h de Maiden je pense que ça finirait par me sembler long, enfin j'en sais rien)

Ils ont fait que DLM, donc ils peuvent mettre n'importe quoi, ça ne changera rien
(c'était ma minute anti-DT du jour, dsl)

J'suis un boulet en orthographe quand je veux moi

Bon, la "fosse" donc...

Excellente set list encore une fois !! Y a de la bombe là dedans : These Walls (il doit le faire en live); Panic Attack est bien mortelle aussi, Pull Me Under, Caught In A Web (!!!). Bon il n'y a que Just Let Me Breathe qui soit moyenne là dedans. J'aurais pris mon pied si j'y avais été...

oui tu l'as dit Ultima, cette set-list était vraiment excellente et ce caught in the web...arf les frissons (derrière moi j'avais un belge, vêtu d'un tee-shirt Awake qui a littéralement pêté les plombs sur ce titre. Plus tard je l'ai revu en train de slammer en embrassant son tee-shirt devant les musicos...arf les fans ).

These walls passe superbement sur scène. Bon le just let me breathe, je ne suis pas fan non plus...toujours moyen ce titre.

Sinon, pour vous rendre compte de l'ambiance, vous trouverez sur le site de ce fan (qui a eu l'arcade éclatée par un jet de bouteille d'eau de Portnoy...les risques des 1ers rangs) une vidéo du trapped inside this octavarium avec un Labrie énervé :

http://pipobo.free.fr/DT/Lille/Lille.html

J'espère qu'il l'a mieux réussi qu'à Paris le Trapped Inside This Octavarium !

J’écris ce compte-rendu plus de 2 semaines après le concert, mais c’est parce qu’hier mon pote Naruto me l’a demandé . Il est donc réellement fait à froid. On avait déjà vu le groupe en 2002 après la sortie de 6 Degrees Of Inner Turbulence. Et Naruto et moi avions été déçus par la perf du groupe. James n’était pas au top et la set list moyenne (la faute à un album en demi teinte). Je les avais trouvés très bons une heure au Parc des Princes en première partie de Maiden, mais quid d’un nouveau show de 3 heures ?

19h. C’est l’heure inscrite sur les billets, heure que je crois être le début du concert. Il n’en est rien. Il faudra attendre une heure avant que le concert commence. Un peu long en tout cas. Ceci dit on a eu droit à la pub du Zénith nous présentant le nouveau film avec Jodie Foster ou je ne sais quelle connerie à bouffer, franchement grande classe.

A 20h, les lights s’éteignent et retentie l’intro du concert, la même que celle du Parc de Princes, à savoir le thème d’Orange Mécanique puis la fin de Train of Thought (plus précisément la fin d’In The Name Of God). Et hop le rideau tombe et commence The Roots Of All Evil, premier extrait d’Octavarium. Autant j’étais dubitatif aux premières écoutes du titre, autant aujourd’hui je suis conquis, les 2 interprétations que j’ai vu m’ont conquis. Il s’agit d’un excellent titre avec un riff entraînant. La fosse ne s’y trompe d’ailleurs pas. Ca bouge bien mais pas autant que The Glass Prison (on avait eu droit à ce titre en ouverture sur la tournée 6DOIT). Ensuite, le groupe enchaîne direct avec Never Enough, 2ième titre de leur dernier opus. Ce plagiat (hommage ?) de Muse passe bien l’épreuve de la scène grâce à son passage instrumental détonnant. J’adore le passage à la basse sur le solo. Ecoutez, vous serez bluffés ! A ce stade les gars sont bien en place, John Myung arrive presque à bouger (il fera bien une dizaine de pas pendant les 3 heures de concert), il s’améliore. John Petrucci avec sa coiffure de djeuns est égal à lui même. Il bouge moins qu’il y a 3 ans, il me semble, il reste plus près de ses pédales. Le chauve Jordan Rudess a fier allure du haut de son piédestal. Mike Portnoy tient bien la scène avec sa Siamese Monster aux couleurs de la pochette de l’album. Et puis il a recyclé son maillot du PSG (le n°8 comme par hasard). Enfin LaBrie commence bien le concert, poussant bien moins sa voix que sur le World Tourbulence et par ailleurs la controlant bien mieux.

A l’issue de cette entrée en matière plutôt musclée, les 3 écrans géants entament une remontée dans le temps et affichent 1985, les premières heures de Dream Theater ou pour être exact Your Majesty. James annonce alors que le concert sera une rétrospective de ces 20 dernières années. Résultat au moins 2 morceaux de chaque album sont joués. Et ça commence par un Another Won sorti des cartons de Your Majesty. La compo est tellement ancienne que James lit les paroles sur un papier posé à ses pieds. Sans être un tube ultime, elle passe plutôt bien et on perçoit déjà la patte DT avec ses envolées instrumentales inspirées. On enchaîne sur une chanson un peu plus connu (hum) avec Afterlife présente sur When Day & Dreams Unite. James se la réapproprie bien et au moins connaît les paroles. Vient ensuite l’excellent Under A Glass Moon, titre moins connu qu’un Metropolis ou un Pull Me Under, mais qui rend très bien en concert. L’intro guitare/clavier me donne encore des frissons. Un grand moment du concert vient avec 2 titres d’Awake (le magnifique) à savoir The Mirror et Lie qui se suivaient déjà sur album. Le riff d’intro est vraiment excellent et a de quoi faire remuer la fosse. On retrouve Portnoy au micro pour chanter quelques mots ici ou là. L’ambiance est vraiment malsaine (normal pour une chanson qui traite de l’alcoolisme) et superbement rendu par le clavier de Rudess. Et à ce moment du show, surprise. On sait que l’on va alors passer à Falling Into Infinity, disque contesté par excellence. James nous annonce un titre enregistré à cette époque mais non présent sur l’album : il s’agit de Raise The Knife. Evidemment ça fait drôle à la grande majorité de la salle, puisque ce titre n’est disponible que sur le cd de Noël des fan-clubs. Il s’agit d’un titre prog’ d’une dizaine de minute avec un refrain très Falling-ien. Evidemment ça dit rien à personne, mais disons que le refrain est plus léger qu’à l’accoutumé, d’autant plus que l’ambiance n’est pas des plus sombre. Portnoy et Petrucci restent sobres et c’est parfait ainsi. Un bon titre, plus léger, plus aérien qui fait du bien après des extraits d’Awake très heavy. On remonte quand même à la charge avec Peruvian Skies où le groupe trouve le moyen de foutre des extraits de Wish You Were Here de Pink Floyd sur la partie calme et à la fin, non pas Enter Sandman comme sur Once In A Livetime, mais Wherever I May Roam . Vient le tour de l’excellent Scenes From A Memory. Mais que vont ils jouer ? Ils ont le choix. Au Parc ils avaient interprétés Fatal Tragedy, ça m’étonnerait qu’ils recommencent ici. Effectivement, ils s’orientent sur l’excellentissime Home. L’intro est toute en douceur avec un Rudess jouant de la citare sur son clavier (pas banal ça). J’ai réécouté une version live de 99 en Belgique et force est de constater que la version du Zénith l’efface haut la main. Le tempo est plus enlevé, le groupe plus sur, LaBrie très en forme. Une vraie réussite encore une fois. C’est sur la fin dantesque de ce titre et un petit clin d’œil à Muse dans la partie instrumentale que le groupe quitte la scène. Pendant 15 min nous dit on.

20 minutes après, entend on la basse de Myung vibrée et Petrucci de suivre sur l’intro de The Glass Prison. Un vrai titre d’ouverture ! Le titre commence très bien, jusqu’au premier solo de Petrucci (c’est-à-dire très vite) où celui-ci se manque un peu. Même si ce n’est pas mon préféré, force est de constater qu’il nous permet de rentrer à nouveau dans le vif du sujet. Et ils veulent pas nous lâcher avec ça, puisqu’ils enchaînent logiquement sur This Dying Soul. Là non plus pas mon préféré, mais il passe bien notamment le passage tout en finesse et au piano de Rudess. On revient alors au petit dernier et après ces 20 minutes (ah oui je n’ai même pas vu le temps passé) de violence, le groupe calme le jeu avec un tubesque I Walk Beside You bien repris par le public appréciant apparemment Octavarium. Surtout les 2 énergumènes que sont Petrucci et Portnoy sont une nouvelle fois sobres et servent à merveille la compo. Mais la tension monte à nouveau. En effet, les samples de Sacrified Sons retentissent dans la Zénith et dès les premières notes de piano l’émotion monte. Surtout que James nous transmet toute la mélancolie du texte. On frôle quand même la faute technique avec, projeté sur les 2 écrans géants (eh oui celui du milieu a laissé place au backdrop à l’effigie de la pochette de l’album) les 2 Twin Towers. A un moment j’ai eu peur que l’aigle d’Iced Earth fasse son apparition. On ne l’a pas eu mais y était presque. Ouf. La perf en tant que telle est excellente. Le passage plus appuyée sur la fin est admirablement retranscrit et l’orchestre normalement présent ne fait pas défaut. On entame ensuite le gros morceau puisque Rudess entame l’intro d’Octavarium, soit 34 minutes de délire. Pendant les premières minutes, Jordan, seul, une main sur le clavier, l’autre sur le continuum nous fait une belle démo de son talent retranscrite sur écran géant. Sur la fin, James entre en scène et joue les nappes de clavier. Puis John Petrucci entre en scène et Someone Like Him commence. Encore une fois, cela se fait sans démonstration, juste en douceur. La montée se fait peu à peu puis après un court solo de basse de Myung débute Medicate. C’est incroyable comme ce titre peut me faire penser à ce que James a fait dans Mullmuzzler. A l’issue de cela, on a droit au bon délire instrumental. Un régal pour les yeux et les oreilles ! Il n’y a pas de gros changement par rapport à la version studio en tout cas. Ensuite viens la forte montée en puissance où tout devient heavy, même la voix de James. Tout est réussi jusqu’à “Trapped inside this octavairum” où James se plante un peu…Mais il se récupère sur le suivant. Tout est bien qui finit bien. Oui mais il reste l’envolée finale du titre, sans orchestre, mais elle est réussie, plus vivante que sur album. Le final est de toute beauté, vraiment et c’est comblé que le show s’achève !

Pas tout à fait, car il manque les rappels. C’est sur qu’après 3h on a besoin de rappels. Sous un tonnerre d’applaudissements, Rudess entre en scène suivi de James. A deux ils entament The Spirit Carries On. J’étais d’ailleurs mort de rire car à côté des jeunes essayaient de retrouver le titre de la chanson. Ils avaient bien ciblé car ils n’ont sorti que des compos de SFAM. Mais on est passé de Finally Free à Through Her Eyes. Bref, les gars maîtrisaient pas leur sujet. Sur scène la réussite fut total. On est bien loin de la perf’ du Scenes From NY, tout est au poil, LaBrie est sacrément en voix. Nul doute que le fait d’avoir repris des cours de chant lui a fait un grand bien. Ce n’est plus le maillon faible du groupe. Même sa prestation scénique. Ce n’est certes pas Dickinson mais il tient mieux la scène. Et ce public !! Rha !!! Les Français sont vraiment fidèles au groupe et ça se voit. Le refrain est repris en chœur, ça fait plaisir de voir un public comblé ainsi. Mais après ça ce n’est pas fini ! Eh oui le groupe n’a joué qu’une chanson d’Images & Words ! C’est l’heure de Learning To Live ! Quelle bombe !! Moins tubesque que Pull Me Under, mais plus subtil. Et on est revenu au bon temps du Live At The Marquee puisque James ne se limite plus, il va chercher les plus hautes notes avec succès. La section instrumentale est également allongée. Elle calme le jeu d’ailleurs, avant que celui ne se reprenne et finisse le concert en beauté.

Le groupe salue alors son public, celui-ci est aux anges, ça se voit. Il n’y a rien à dire ni sur la set-list (quel groupe peut jouer 3h en la renouvelant à chaque concert sans affaiblir le spectacle ?), ni sur l’interprétaion (mention TB à LaBrie !! Les autres ne déméritants pas. Portnoy est un peu plus discret que d’habitude et c’est tant mieux). Evidemment ce n’est pas un groupe de showmen mais l’interprétation live est telle que la foule ne s’y trompe pas en acclamant le groupe.

C’était mon troisième concert de DT (après le World Tourbulence 2002, le Parc des Princes en juin) et ils s’améliorent à chaque fois. Je suis d’autant plus content que l’album qu’ils défendaient aujourd’hui (5 titres tout de même) vaut largement le coup. Ils se reprennent bien après un début de Millénaire bien moins inspiré que par le passé.

Ton compte rendu fait très "morceau de DT" sur la forme

Genre il est indigeste !!

Une idée me vient ! Les gars de DT écriraient-ils leurs morceaux au taf ?

http://www.elgus.net/dt/video/DT-Octava ... -10-05.avi

Pour ceux qui aiment.

Moi j'ai tout lu, c'est vrai que ya quelques lourdeurs à certains endroits dans le style, mais on sent la volonté de vouloir retranscrire les impressions à vif, donc prout à Rabbit

Et en plus, c'est pas comme si c'était un devoir à rendre ou ch'sais pas quoi

Merci pour le c/r Ultima, si j'avais su, j'aurais été voir DT plutot qu'Arcturus en ce début de mois d'Octobre