SEUL 4 MORCEAUX PEUVENT ETRE DECRITS ! pas le droit d'en dire +

DIFFERENT WORLDS:

C'est vraiment un monde différent du reste du disque, c'est un morceau Clé, mais qui ne represente pas tout à fait la suite.

La raison de son élection comme morceau d'ouverture (qui a faillit être le single) car c'est le morceau le plus court avec peu plus de quatre minutes, et c'est un morceau frais et facile d'écoute pour un futur fan.
Des riffs puissants et le caractéristique "doublée de guitares", Different Worlds pourrait parfaitement coller à l'album "BNW".

La curiosité est que c'est un refrain joyeux ! ce qui n'est pas une habitude ! ce qui differe de la grande sobrieté de l'album.
Attention Bruce Dickinson chante d'une voix....... immense.


THE LONGEST DAY:

EPIQUE, comme la majeure partie de l'album.
Il nous rappelle le débarquement de Normandie (parle de plage et de sang).
Il commence avec l'effet typique des riffs à la Maiden, les moments athmosperiques nous plonge dans l'ambience "on se prepare à l'attaque".
Le "débarquement" se sent pendant le Refrain, avec un dickinson de malade.
Un long moment instrumental. Chanson mid-tempo et majestueux.


OUT OF THE SHADOWS

Sans doute la chanson de Maiden influencé à 100% par Bruce.
Il est le compositeur principal du sujet.
Le début nous trompe, parce qu'il promet d'être tres "riffy" très puissant et propre, mais finit un peu comme une ballade, comme un morceau de la carriere solo de Bruce... mais avec Maiden.
Semblable, très semblable à TEARS OF DRAGON.

Un caractere + experiemental que d'habitude, demontrant une grande originalité, des jeux de guitares en triplete, et une jolie fin.


THE RE-INCARNATION OF BENJAMIN BREEG

L'intro de ce morceau est le plus lent et le plus athmospherique du groupe , ce morceau est le plus sombre mais contrasté avec les riffs les plus puissants de l'album.
Des frissons jusqu'au bout des cheveux !
Un voyage musical exceptionnel, commandé par Bruce Dickinson qui conduit ce morceau .
Comme un grand 8 avec des montées et des pentes spectaculaires.
En plus de 7 minutes, il y a, pendant la moitié du morceau, des riffs « galopade », Interludes instrumentaux, et duos de guitares

La 2ieme partie morceaux par morceaux dans quelques minutes.

Un journaliste Espagnol a eu l'honneur d'écouter l'album et de nosu en faire part:

Cet album est aussi risqué que le suppose le titre AMOLAD, (une question de vie ou de mort). Il sera aimer ou detester, pas d'autre option

L'album peut être catalogué de beaucoup de manières, mais on retient la prise de risque de cet album. mais un seul adjectif peut le decrire => TERRIBLE

« AMOLAD» est dans le complexe, passages lents d'une part et de l'epique d'autre part, avec des chansons très longues et beaucoup de passages instrumentaux, généralement de la trempe progressive, la plupart des melomanes seront enchantés, mais d'autres pourront penser que c'est excessif et même redondant vers la fin. (voir meme lourd)

Le nouvel album est dans la continuité de "DOD" (bien qu'il soit intensement different) avec une production semblable à "BNW", très kevinshirleynesque, qui n'a rien a envier au boulot d'un certain Martin Birch à son apogé.

D'une façon générale le coté "heavy" est empreinté à "BNW", bien que leurs moments instrumentaux et environnementaux suivent le sillage de "DOD".
"AMOLAD" est une sorte de combinaison de leurs théâtro-épico "paschendale" + de l'experimental.

Soyont d'accord, ce n'est pas un disque qui va satisfaire ceux qui revent d'un Number of the Beast 2, ou encore d'un powerslave 2.

C'est un clin d'oeil aux compositions rapides et directes.

Le seul exemple de compos d'ecoute facile et directe (à l'instar de wicker man par exemple) serait "Different World" (et peut-être « the Pillgrim »), qui devait etre choisi comme single.

Finallement "the réincarnation of Benjamin Breeg" sera le "porte parole" de ce nouvel album.

AMOLAD peut convaincre à la premiere écoute, mais il a des chansons très bonnes qui se satisfont à elles meme.

L'album emploie ce chemin:
"'introduction-passage lent-passages des couplets - refrain -passage instrumental et lent- couplet/refrain-passage lent-outro.

Attention, écoutez le attentivement, car il recele beaucoup de tresors caché !!

A certains moment, on peut perdre patience, car certain passages sont dans l'ambience "lent".

Un autre détail à considérer est la grande présence des claviers, enormement utilisé aux moments les plus atmosphériques comme appui dans certains refrains.

Cette fois Dave Murray a participé à la composition d'un des meilleurs morceau de l'album « The réincarnation of Benjamin Breeg ». On a qu'une envie apres... c'est que Dave participe encore + !

Si DOD etait seulement un pied dans l'eau du progressif "AMOLAD" est carrement le plongeons dans une piscine.
Sans aucun doute cet album est aussi terrible que le nom des titres.

Peu d'options: "A Matter of Life and Death" On le détestera ou venerera.
En ce qui me concerne, je le venere, et j'ai un plaisir et un etonnement enorme à chaque fois que je le passe !