Hop la, mega transition avec l'Ancêtre puisque j'écoute en ce moment le nouveau Leprous, Bilateral (because les mecs de Leprous sont le groupe live d'Ihsahn).

C'est juste sacrément bon. Beaucoup plus axé sur les mélodies que le précédent et plus direct. Moins d'alternance chant clair/death, ambiance moins dépressive.

Et ils utilisent une trompette sur un morceau Je préfère le sax d'Ihsahn mais ça fait quand même son petit effet.

Et j'ai aussi écouté Road Salt 2, mais là je suis bcp moins enthousiaste. Toujours le même trip 70's, qui sonne à mes oreilles encore moins accrocheur...

Pas trop Metal ces derniers temps. Sais pas ce que j'ai, mais j'ai pas spécialement envie de dodeliner de la tête comme un bienheureux sur du riff en acier trempé. Et puis, en cette période de disette, j'en suis réduit à aller voir ailleurs et/ou à écouter des vieilleries... Ces 2/3 dernières semaines dans ma playlist, on y trouvait plutôt, en vrac, du Erik Satie (miam !), du Olivier Messiaen (beurk !), du Adrian Legg, du Yes ("as usual"), du King Crimson ('videmment), et pas mal de Weather Report (notamment les fantastiques "I Sing the Body Electric" et "8:30) et du Frank Zappa ("Tinseltown Rebellion" et "Sheik Yerbouti" surtout)...

Mais curieusement, quelques disques de Hard sont revenus avec pas mal d'insistance dans ma chaine... Petit jeu: un intrus s'est glissé dans la liste, à vous de le trouver !

-Led Zeppelin: "Physical Graffiti"

-Necrophagist: "Onset of Putrefaction"

-Rainbow: "Down to Earth"

-Tesla: "The Great Radio Controversy"

-UFO: "Strangers in the Night"

-Yngwie Malmsteen: "Odyssey"

Je dirais Onset of Putrefaction, c'est le seul album avec une boîte à ryhtme



Du coup j'ai réécouté Tall Poppy Syndrome et c'était bien

Yep, je l'avais un peu oublié mais quand je me le suis remis, grosse claque.
Mélodique, technique, original... Du talent en barre.

J'ai découvert ça grâce à VS :

MALEVOLENTIA / Ex Oblivion



En plus d'avoir une pochette MAGNIFIQUE, ce p'tit groupe de black sympho français joue pas mal je trouve. Ex oblivion est leur second opus ( jamais entendu le 1er "contes et nouvelles macabres"), affublé de textes bien écrits tres inspirés par Lovecraft et ce qui touche à l'héretisme en général.

C'est enregistré chez Neb/Xort d'Anorexia donc la prod' est bonne également.

Musicalement on lorgne du côté du BM des 90s un peu oldschool, avec une french touch qui pour une fois n'est pas pour me déplaire.



"Ecoutez le ramper, glisser contre mon âme, le dieu des profondeurs, DAGON !!!"

DT - SCORE



J'y arrive plus, c'est devenu trop douloureux, j'ai peut être fait le con hier soir en m'écoutant le catastrophique "Once a livetime" j'ai voulu redresser la barre en écoutant/regardant Score... Rien n'y fait. On va dire que je suis dans une phase bourrine, parce que là Labrie et ses copains ça sonne poussif et pompeux.

Je crois que je vais même faire l'impasse sur le prochain, le dernier j'ai du l'écouté 3 fois... Catastrophé lors de la premiére écoute, agréablement surpris la seconde, déçu la troisiéme... Je sais pas ce qui m'arrive toutes ces années de fanboy, tout ce travaille sur moi même et sur les autres pour accepter le chant si particulier et là pour tout s'en va... Monde de merde

Oh ça reviendra, y a des périodes comme ça.
Ca peut dépendre de l'humeur, du contexte dans lequel tu te trouves...

sinon moi c'est ça :



Très bon album de la bande de Sacramento. Pas leur meilleur, mais pas mal de tubes quand même : "Forever More, "So What", "I Wanna Live".

Vivement un vrai nouvel album.

Gagné ! Pas con pour l'histoire de la boite à rythmes (j'y avais pas pensé), mais c'est surtout parce que c'est le seul album de Death au milieu de disques de Hard !



Je ne pense pas que le problème vienne tellement du groupe, c'est surtout qu'en général les live avec orchestre CDLM. Depuis Deep Purple, tous les groupes (Metallica, Malmsteen, Kiss, Steve Vai, pour ceux qui me reviennent en mémoire) s'imaginent qu'il s'agit simplement de louer les services un orchestre pour sonner "symphonique": les cons... On devrait les prévenir que loger un ensemble de quatre-vingts musiciens derrière un groupe pour, au final, se contenter de les faire jouer des nappes de violon à la con et un peu de trompinette en fond sonore, c'est pas du boulot et ça n'a rien de particulièrement majestueux (en plus, c'est inutile dans le cas de Dété, vu que Rudess à déjà tous ces sons-là programmés dans son synthé !): faut simplement y voir un rite de passage (héhé !) depuis quelques années pour le rockeur décérébré moyen. Sans compter que résultat final est plus souvent proche "d'André Rieu et son orchestre" que de "Carlo Maria Giulini dirige l'Orchestre Philharmonique de Vienne"... Franchement, le "Concerto pour Guitare électrique et Orchestre" de l'autre gland scandinave est un "sommet" dans le genre (la "fugue" est amusante d'ailleurs, puisque c'est exactement ce que j'ai eu envie de faire en l'entendant pour la première fois).

Après, je ne me prononcerai pas davantage sur la qualité du contenu de ce live-ci dans la mesure où je ne l'ai pas écouté. En général, Dété est habituellement un bon groupe live, non ? (les ultras confirmeront/infirmeront): sets variés qui couvrent bien chaque période du groupe, son généralement très clean, performance propre et "carrée", nombreux "clins d'oeil" sympas à leurs groupes favoris (reprises de Maiden, Rush, Pink Floyd, etc...), bonne interaction avec le public et bonne présence scénique, etc... Pour les avoir vus une fois au Graspop (il y'a quelques années de cela), c'est en tout cas ce qu'il m'a semblé...



Tout à fait d'accord ! C'est un bon disque de saison pour rouler en voiture la vitre ouverte, cheveux au vent... On peut juste regretter qu'ils soient pas plus rapides à la livraison, vu le temps long qu'ils mettent à faire un nouvel album à chaque coup. Mais bon, vu leur discographie quasi exemplaire, ceci explique certainement cela...

J'apprécie particulièrement Score, pour toutes les raisons que tu énonces Monsieur de Rastignac, et surtout parce qu'il me "réconcilie" avec toutes les époques du groupe, ce qui n'est pas vraiment une mince affaire.

Eh bien dans ce cas, j'essaierai de le tester. Avant le post de Morgor, j'ignorais l'existence de ce live (question live, je me suis arrêté à "Metropolis 2000", dont j'avais, fût un temps, la vidéo, mais je n'ai plus le magnétoscope pour la lire). Si ils pouvaient s'inspirer des autres boulets (que j'ai cité) pour ne pas faire pareil, ce serait sympa. D'après ce que j'ai compris, ils n'utilisent l'orchestre que durant la seconde partie du concert (disques 2 & 3): pourquoi pas ? Reste à voir quelle place il occupe (s'il agit de manière un peu plus "autonome" que chez Metallica, par exemple) et si il sert les chansons. Avec un peu de chance, il rejoindra peut-être le "Concerto for Group and Orchestra" de Deep Purple tout là-haut...

En tout cas, il convient de porter à leur crédit le fait que la setlist dénote un certain "savoir faire" et que certains choix paraissent peu évidents ("Afterlife", par exemple), ce qui confirme ce que je disais plus tôt... Bon point.

L'orchestre est inutile et ne fait que soutenir les parties clavier. Metallica a eu plus d'audace dans son S&M (même si ça a donné de bonnes gamelles...). A mon humble avis, le live de référence de DT est le Budokan, qui, en plus de proposer une setlist qui a les mêmes qualités que tu énonces, bénéficie d'une réalisation plutôt originale par rapport à ce que j'ai pu voir dans le genre. Après j'adore Score quand même (mon premier live de DT, tout ça...), mais je pense qu'il ne tient pas la comparaison face à celui de Deep Purple (qu'il faudrait que j'écoute, cela dit).

Qu'est ce qui se passe mon bon Morgor ? Tu as perdu la foi ? Tu es blasé après cette saison si fructueuse du LOSC ?

Je rejoins l'ancêtre : Score est un beau retour dans le fécond passé de DT. Sur le 1er disque, ça envoie du lourd (et il n'y a pas encore l'orchestre qui pourrait freiner l'enthousiasme de certains). Putain les gars : Afterlife et le solo démentiel de Petrucci, le catchy Innocence faded, l'inédit et excellent Raised the knife...toutes les périodes sont balayées avec un superbe son et une interprétation impeccable (oui même Labrie bande de mauvaises langues).
Sur le deuxième disque, avoir l'intégralité de SDOIT, c'est quand même le pied non ? Je trouve que le boulot par l'orchestre s'il n'est pas parfait, est quand même de qualité.
Idem pour le troisième disque avec le pavé Octavarium.

Il est vrai que le live At Budokan pourra être perçu de meilleure qualité par beaucoup mais moi, j'aime beaucoup ce Score.

Sinon, en écoute cette semaine :


Shadow Gallery est grand et ce Room V ne le démentira pas même si je lui préfère Tyranny ou Carved in Stone. C'est parfois un peu trop mieilleux mais putain...Rain quoi !

Depuis la sortie de BC&SL, le concert du graspop 2009 je l'ai vu de loooooooooooin et quand j'ai voulu me rapprocher je me suis aussi vite cassé parce que c'était Wither.... Ensuite j'ai retenté à Lille avec Opeth et je me suis barré avant qu'ils ne commencent the count of tuscany.

DT en octobre 2005 à l'aéronef , c'est jusqu'à présent ma plus grosse claque en concert mais là j'accroche plus du tout... Comme ci tout les petits trucs énervants avaient pris le pas sur l'emsemble qui est toujours convaincant, parce que SDOIT c'est mon album préféré, Octovarium c'est leur bousin que je préfére et effectivement l'orchestre rend bien, en particulier overture mais j'y arrive plus....

@Boro : et après leur tournée de l'automne dernier, j'attends avec impatience un témoignage de ces prestations. Un album serait aussi le bienvenu.

Et surtout qu'ils reviennent le plus rapidement possible pour nous refoutre une grosse baffe, voire faire le tour des festivals pour annoncer au monde que Shadow Gallery, en concert, c'est explosif !

Mon remède brutal après une journée un peu monotone.
Par contre on ne peut plus écouter grand chose après...

C'est tout, c'est tout.

merci de rappeler que l'humanité n'est pas tout à fait perdue, artistiquement parlant en tous cas.


sinon rien à voir, mais le temnozor de 2010 manque sérieusement de flûte. encore des vendus au mercantilisme qui ont oublié leur grandeur d'âme et l'amour de leur patrie, tiens.