On parlait de progressions d'accords je sais plus où et en gros on m'était tombé dessus parce que je disais que tout le monde employait les mêmes…

M'a directement fait penser à Let it Be. C'est marrant mon frère (qui gratte un peu) avait déjà fait un medley avec Let it Be/No Woman No Cry (y'avait aussi Cendrillon de Téléphone avec laquelle ça marche). La vidéo est vraiment excellente en tout cas.

Ça me fait penser à ce que j'avais lu dans 'le rock progressif anglais 67/77' de Pirenne, comme quoi l'une des forces cachées (dans le sens où les gens s'en rendent pas compte) des Beatles était leur utilisation 'nouvelle' des progressions d'accords. Pour la première fois les accords correspondait pas forcément à une idée musicale, mais tentaient de coller au texte (machin est triste, pouf on passe en mineur). Du coup ils se forçaient à faire des choses plus ... tarabiscotées, tout en conservant une accroche mélodique (ils travaillaient donc assez leur compos contrairement à ce que disent certains cons).

J'ai pas le bouquin sur moi, d'ailleurs il ne renvoyait qu'à Sgt Pepper je crois. Si quelqu'un a lu un truc sur les Beatles (j'en cherche un, j'ai pas d'argent, ouin) qui aborde ça en plus poussé je suis preneur de précisions.

En effet, il suffit de regarder un peu leur partoches : certes il y a les "accords habituels" tournés et retournés dans tous les sens, mais il y a aussi des machins diminés de neuvième de majeur de truc qui ne sont pas piqués des scarabés, et qui se baladent un peu partout.